I, Frankenstein (2014), de Stuart Beattie, avec Aaron Eckhart, Bill Nighy, Yvonne Strahovski, ma note 5.5/10.
L'idée de départ était surprenante voire séduisante : Introduire la créature de Frankenstein au sein du combat millénaire entre le bien et le mal aurait pu donner naissance à un sacré bon film. Le début semble d'ailleurs à la hauteur des enjeux et on se prend à rêver. Malheureusement, la ...bonne impression ne dure que quelques minutes. Rapidement le scénario s'enlise et patine sérieusement jusqu'à la fin. Le réalisateur, conscient que son film manque cruellement de fond tente de tout miser sur la forme et ça fonctionne au moins en partie. Les scènes de combats entre gargouilles et démons sont relativement esthétiques et aident à faire passer la pilule. Quelques scènes sont spectaculaires et l'ambiance sombre et gothique plutôt réussie. Il est tout de même dommage de noyer une aussi bonne idée sous un flot d'effets spéciaux numériques juste par manque d'inspiration. Cette mauvaise copie d' « Underworld » fera illusion auprès des spectateurs les moins difficiles. Les autres préféreront sans doute passer leur chemin. Dommage !
L'idée de départ était surprenante voire séduisante : Introduire la créature de Frankenstein au sein du combat millénaire entre le bien et le mal aurait pu donner naissance à un sacré bon film. Le début semble d'ailleurs à la hauteur des enjeux et on se prend à rêver. Malheureusement, la ...bonne impression ne dure que quelques minutes. Rapidement le scénario s'enlise et patine sérieusement jusqu'à la fin. Le réalisateur, conscient que son film manque cruellement de fond tente de tout miser sur la forme et ça fonctionne au moins en partie. Les scènes de combats entre gargouilles et démons sont relativement esthétiques et aident à faire passer la pilule. Quelques scènes sont spectaculaires et l'ambiance sombre et gothique plutôt réussie. Il est tout de même dommage de noyer une aussi bonne idée sous un flot d'effets spéciaux numériques juste par manque d'inspiration. Cette mauvaise copie d' « Underworld » fera illusion auprès des spectateurs les moins difficiles. Les autres préféreront sans doute passer leur chemin. Dommage !
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